Vue de l'exposition Intranquillités © Leslie Artamonow
mounir FATMI, Jusqu'à preuve du contraire, détail, 2012
mounir FATMI, Jusqu'à preuve du contraire, 2012 © Leslie Artamonow
mounir FATMI, Mehr Licht !, 2009-2011 © Leslie Artamonow
mounir FATMI, Mehr Licht !, 2009-2011 © Leslie Artamonow
Mohamed EL BAZ, Rien d'autre n'a eu lieu, 2012 © Leslie Artamonow
Vue de l'exposition Intranquillités © Leslie Artamonow
Vue de l'exposition Intranquillités © Leslie Artamonow
Vue de l'exposition Intranquillités © Leslie Artamonow
Charif BENHELIMA, série Harlem on my Mind: I Was, I Am, 1999-2002

Intranquillités

CHARIF BENHELIMA, MOHAMED EL BAZ, MOUNIR FATMI

Exposition

Intran­quil­lités regroupait trois artistes issus de la diaspora marocaine qui ont en commun de s’in­ter­roger sur les notions d’identité, de culture, de nationalité, de frontières, d’ap­par­te­nance, d’Etranger, d’Autre.

Emprunté au poète portugais Fernando Pessoa, le titre Intran­quil­lités évoque un état d’in­quié­tude, une certaine agitation, voire une forme d’in­sécu­rité. L’idée est autre cependant : il s’agit d’un appel à rester en alerte, à garder les sens et l’in­tel­li­gence en éveil. La curiosité (comme outil d’é­man­ci­pa­tion), la parole libre et la quête d’origines métissées sont les moteurs de cette exposition de groupe. Une attitude que cultivent ces trois artistes qui, face à un monde en plein emballement, nous invitent à activer en permanence cette curiosité intran­quille garante de notre conscience.

L’ex­po­si­tion au BPS22 présentait des pièces de chaque artiste, organisées autour de nouvelles productions spécifiques. Parmi celles-ci, Sleep Al Naim - For Salman Rushdie, de mounir fatmi, présentée en première mondiale.

Com­mis­sari­at : Charles-Olivier Gohy et Pierre-Olivier Rollin