OPTIMUM PARK, un projet de Sébastien Lacomblez et de l'Entreprise d'Optimisation du Réel (EOR). Photo : © Stéphane Bednarek, 2013.
OPTIMUM PARK, un projet de Sébastien Lacomblez et de l'Entreprise d'Optimisation du Réel (EOR). Photo : © Stéphane Bednarek, 2013.
OPTIMUM PARK, un projet de Sébastien Lacomblez et de l'Entreprise d'Optimisation du Réel (EOR). Photo : © Stéphane Bednarek, 2013.
OPTIMUM PARK, un projet de Sébastien Lacomblez et de l'Entreprise d'Optimisation du Réel (EOR). Photo : © Stéphane Bednarek, 2013.
OPTIMUM PARK, un projet de Sébastien Lacomblez et de l'Entreprise d'Optimisation du Réel (EOR). Photo : © Stéphane Bednarek, 2013.
OPTIMUM PARK, un projet de Sébastien Lacomblez et de l'Entreprise d'Optimisation du Réel (EOR). Photo : © Stéphane Bednarek, 2013.
OPTIMUM PARK, un projet de Sébastien Lacomblez et de l'Entreprise d'Optimisation du Réel (EOR). Photo : © Stéphane Bednarek, 2013.

OPTIMUM PARK

ENTREPRISE D'OPTIMISATION DU RÉEL

Exposition, Performance

Conçu par Sébastien Lacomblez et l’En­tre­prise d’Op­ti­mi­sa­tion du Réel, OPTIMUM PARKTM propose d’ex­péri­menter l’art au travers d’un dispositif plastique interactif dans lequel les visiteurs sont sollicités par un système infor­ma­tique qui les enjoint d’accomplir une série d’actions. La difficulté et le caractère incongru des actions demandées et des messages adressés progressent, au fur et à mesure de la performance, obligeant le participant à redéfinir sa position vis-à-vis de l’œuvre, de l’artiste et de l’in­sti­tu­tion. La performance est découpée en trois séquences cor­re­spon­dant à trois niveaux d’im­pli­ca­tion des visiteurs.

Programmé avant le lancement du chantier du BPS22, OPTIMUM PARKTM déployait son dispositif sur le plateau de la grande halle. Chaque participant était convoqué par le Système à prendre part à une série d’actions dans des instal­la­tions connectées les unes aux autres : ques­tion­naires, enquêtes ou jeux vidéos min­i­mal­istes con­frontaient chacun à des savoirs des plus variés (biologie, philosophie, astro­physique, écologie, etc.), réclamant inventivité et réactivité, une station tir”, dark-room-noise”, destruction”, sollicitait l’im­pli­ca­tion physique des visiteurs, etc. Autant d’ex­péri­ences qui tissaient le fil d’une performance totale et collective, dont l’issue dépendait du taux d’in­vestisse­ment de chacun et de sa réponse aux sol­lic­i­ta­tions du Système. 

Un projet de Sébastien Lacomblez avec l’En­tre­prise d’Op­ti­mi­sa­tion du Réel (avec Sébastien Biset, Emmanuel Pire, Leslie Mannès, Antoine Boute) soutenu par la Fédération Wallonie-Bruxelles.